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France 2 répond à l'appel
08/06/2010 19:33
Ce soir à 20h30, France 2 diffusera un téléfilm titré "l'appel du 18 juin" qui relate l'épisode le plus célèbre de la saga gaullienne. On y verra les coulisses de cet évènement sous l'oeil de la caméra de Félix Olivier. Toujours sur France 2, ne pas rater le documentaire de Timothy Miller intitulé "Libres français de Londre" qui sera diffusé à 22H05.
Le comité de circonscription
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Les Français parlent aux Français
07/06/2010 18:31
Les Français parlent aux Français - Tome 1 : 18 juin 1940-18 juin 1941; Avec La Bataille de Radio Londres
Jacques Pessis
Jean-Louis Crémieux-Brilhac (Préfacier)
Broché
Paru le : 27/05/2010
Editeur : Omnibus
ISBN : 978-2-258-08326-4
EAN : 9782258083264
Nb. de pages : 1137 pages
Voilà le premier des 3 volumes des plus belles chroniques de l’émission créée par la France Libre depuis Londres pour les Français de la France occupée. Celui-ci aura été fait avec en partenariat avec la Fondation Charles-de-Gaulle. L’auteur, s’est appuyé sur des chroniques archivées sous forme de microfilms retraçant les textes d’environ 9000 émissions de l’époque. Un beau morceau d’anthologie.
PW
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Bisbilles au sommet d’Europe Ecologie
07/06/2010 18:09
- Par Pauline Fréour Le Figaro
A la veille de la convention nationale sur l’avenir du parti, des piques lancées par Jean-Vincent Placé réveillent le spectre des tensions internes. Le numéro 2 des Verts qualifie l’évolution du mouvement de «bide».

Alors que l’objectif affiché de la convention interrégionale d’Europe Ecologie, qui se tiendra samedi à La Cigale à Paris, est d’ «avancer dans (la) réflexion sur l’avenir du rassemblement des écologistes», les responsables du parti donnent surtout l’impression d’avoir du mal à s’unir. Après les critiques échangées en avril entre Cécile Duflot, secrétaire nationale des Verts, et l’eurodéputé Daniel Cohn-Bendit (Europe Ecologie), c’est au tour de Jean-Vincent Placé, numéro 2 du parti, de relancer une polémique.
«Un bide total»
Le bras droit de Cécile Duflot a affirmé jeudi que la question de la structuration du mouvement, thème central de la rencontre de samedi, «n’intéresse pas grand-monde». Pis, c’est un «bide totale», assure-t-il. «Quand on demande aux militants : est-ce que vous êtes pour le parti-réseau, la fédération ou la coopérative, les gens se regardent en se demandant de quoi il s’agit», estime Jean-Vincent Placé, qui reproche à «Dany et ses amis» la «voie pas dynamique» dans laquelle ils ont axé les débats. A cause de cela, la campagne d’adhésions est aussi «en train de devenir un bide», assène-t-il, reconnaissant en revanche «une volonté très forte d’unité, de rassemblement, de travail sur le fond» et que «Dany et Cécile s’entendent bien».
Cécile Duflot n’a guère tardé à répliquer. Jean-Vincent Placé «a tort», estime la numéro un des Verts. «Le débat est peut-être technique mais il est nécessaire et surtout fait avec sincérité», assure-t-elle. «Créer un mouvement tel que le nôtre est toujours complexe, mais il ne faut jamais critiquer sans agir», poursuit-elle. Et d’affirmer que dans les régions où les débats sur la forme future d’Europe Ecologie ont commencé, «les tensions n’existent pas» entre Verts et Europe Ecologie.
Paix retrouvée entre Duflot et Cohn-Bendit

Ce différend survient alors même que Cécile Duflot et Daniel Cohn-Bendit étaient enfin parvenus à des relations apaisées, du moins officiellement, après quelques échanges acides par voie de presse. «Dany» avait notamment dénoncé la «vision passéiste» de Cécile Duflot concernant le parti créé en octobre 2008, tandis qu’elle-même émettait des réserves face au projet de «coopérative politique» de l’eurodéputé, inquiète des «déceptions» pouvant découler des « rénovations hâtives». L’accalmie était finalement venue début mai. Face à la presse, les deux leaders écolos avaient affirmé leur «respect mutuel» tout en affichant leurs «différences».
http://www.gaullisme.fr/?p=7661
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L’OMS épinglée pour son rôle dans la pandémie de grippe A
07/06/2010 18:05
La gravité de cette épidémie a été « largement surestimée » par l’Organisation mondiale de la Santé, dénonce l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe.

Le rapport de l’APCE met en avant le « gaspillage de fonds publics » généré par l’action de l’OMS. (AFP)
La gravité de la pandémie de grippe A/H1N1 a été « largement surestimée » par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), dénonce l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe (APCE), a-t-on appris samedi 5 juin. Celle-ci épingle dans un rapport un « gaspillage de fonds publics » et des « peurs injustifiées« .
Ce récit, approuvé vendredi 4 juin par la commission Santé de l’APCE, déplore « un grave manque de transparence ». Dans un communiqué, l’Assemblée se demande en effet « quelle influence l’industrie pharmaceutique a pu exercer sur les décisions prises ».
Lors de la présentation du rapport vendredi à Paris, la rédactrice en chef du British Medical Journal, Fiona Godlee, a expliqué qu’une étude de sa revue avait montré que « les scientifiques qui ont élaboré des lignes directrices clés de l’OMS sur le stockage des vaccins contre la grippe avaient été payés par des groupes pharmaceutiques susceptibles d’en tirer profit », selon le communiqué de l’APCE.
« Traitement placebo à grande échelle »
« Cette pandémie n’a jamais vraiment existé », a lancé l’auteur du rapport, le parlementaire britannique Paul Flynn, lequel a qualifié le programme de vaccination de « traitement placebo à grande échelle ».
Pour « une plus grande transparence » et « une meilleure gouvernance en matière de santé publique », la commission Santé de l’APCE préconise d’instituer des garanties contre « l’influence d’intérêts particuliers » et d’envisager un fonds public pour soutenir des études, des essais et des avis d’experts indépendants, qui pourraient être financés par le biais d’une contribution obligatoire de l’industrie pharmaceutique.
Le rapport de Paul Flynn doit être examiné par les parlementaires des 47 Etats membres du Conseil de l’Europe le jeudi 24 juin, à Strasbourg.
Nouvelobs.com
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Le SNES, antigaulliste primaire… et sarkozyste secondaire
07/06/2010 17:53
Marianne s’engage avec Eric Conan. Qui désapprouve la pétition du SNES exigeant la suppression des mémoires du Général de Gaulle du programme du bac de français.
Au moment ou l’école fait l’objet d’une attaque en règle du consternant Ministre de l’Education, Luc Chatel - qui la traite comme une filiale de l’Oréal, où il a exercé les talents de directeur du personnel et de responsable du marketing – l’ahurissante pétition lancée par le SNES (Syndicat national des enseignants du second degré) contre l’inscription des Mémoires de guerre du Général De Gaulle au programme du bac de français littéraire (aux côtés d’Homère, de Beckett et de Pascal Quignard) a le mérite de nous rappeler une douloureuse réalité : le désastre scolaire ne s’explique pas seulement par les offensives régulières que l’école subit de l’extérieur, par tous ceux qui cherchent à réduire les moyens qui lui sont consacrés, qui se réjouissent de voir son rôle dans la lutte des inégalités se réduire et qui ne lui demandent que de préparer au plus vite la jeunesse à plonger dans le grand marché de la consommation généralisée.
Non, le système scolaire français s’est aussi effondré de l’intérieur, une partie des enseignants ayant souhaité et favorisé au cours des trois dernières décennies beaucoup de ces réformes – pour la plupart de gauche – qui, de renoncements successifs en initiatives pédagogiques dé-coiffantes, ont participé à la déroute de l’instruction, en particulier dans l’enseignement du Français, domaine dans lequel la baisse du niveau est la plus spectaculaire. C’est d’ailleurs l’aspect tragique du sentiment actuel de beaucoup d’enseignants : ils savent plus ou moins consciemment que leur corps n’est historiquement pas étranger à l’état de l’école dont ils sont les victimes quotidiennes. Beaucoup, ces dernières années, ont pris conscience de cette contradiction. D’autres n’en sont malheureusement pas encore là comme l’initiative du SNES en constitue une triste démonstration.
Car que nous disent ces pétitionnaires ? Que « proposer De Gaulle aux élèves est tout bonnement une négation de notre discipline ». Ce sont les mêmes qui expliquaient il n’y a pas si longtemps qu’il valait mieux apprendre le français à partir du mode d’emploi d’un presse-purée ou d’une affiche publicitaire plutôt que dans les œuvres de La Fontaine ou de Victor Hugo, trop éloignées des réalités quotidiennes des élèves. Comme ils n’étaient pas gênés que des manuels de Français proposent d’approfondir « la culture du verlan », on comprend aisément que le style littéraire de De Gaulle, qui a fait son entrée dans la collection de La Pléiade, leur semble d’un piètre intérêt pédagogique. Autre objection invoquée : « Nous sommes professeurs de lettres. Avons-nous les moyens, est-ce notre métier, de discuter une source historique ? ». De Gaulle, la Seconde guerre mondiale, la Résistance, la Libération, cela semble effectivement trop compliqué quand l’objectif pédagogique premier est de ne pas bousculer l’élève avec ces vieilles histoires dépassant l’horizon de son univers quotidien. Déjà, Guy Mocquet leur semblait trop exotique.
Dernier argument : De Gaulle, ce serait de la politique et de la propagande. Et oui, comme toute grande œuvre politique, mais c’est précisément dans la catégorie « littérature et débat d’idées » que l’Inspection a retenu les Mémoires de guerre. L’argument du SNES impliquerait de rayer des programmes Chateaubriand, Saint-Simon, Péguy, Sartre, Malraux, Césaire, etc. Mais quand il parle de politique, le SNES ne voit même pas si loin : il pense que De Gaulle a été choisi « pour flatter la couleur politique du pouvoir en place ».
On se dit alors que l’inculture a vraiment progressé au point de faire des ravages dans certaines têtes enseignantes qui ne perçoivent aucune différence entre Sarkozy et De Gaulle. Inculture de ne pas voir pas que le large consensus actuel autour du gaullisme de guerre s’explique beaucoup par la nostalgie d’une conception de la politique qui ne bradait pas les idéaux et le souci de l’avenir collectif pour l’empire de l’argent et de la réussite matérielle. Inculture à laquelle s’ajoute l’inconséquence de ne pas voir qu’en demandant la déprogrammation des Mémoires de guerre, ils sont en fait les vrais alliés de Nicolas Sarkozy qui avait condamné La Princesse de Clèves avec les mêmes arguments. Plutôt Titeuf ou Pennac que Villon ou Stendhal.
S’ils s’intéressaient un peu plus à cette discipline démodée qu’est l’Histoire, les censeurs du SNES sauraient qu’au-delà des décisions tragiques de Vichy, le pétainisme exprimait d’abord un état d’esprit duquel tout le reste découla : le renoncement face aux événements, l’adaptation aux nouvelles réalités présentes, l’acceptation d’évolutions jugées irréversibles. La soumission à l’air du temps.
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